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SOIE POUR LA MOUCHE. Qu'elle soit synthétique ou naturelle, plongeante ou flottante, vous trouverez ici une soie qui correspondra à votre pêche.  |
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LA DOURBIE Partez à la découverte d’une rivière mythique. Il existe de par le monde, des sites dont le simple nom fait rêver plus d'un pêcheur et cet indicible espoir de parcourir un jour ces lieux. Nous avons, en Cévennes, des endroits tout aussi magiques et qui attirent les " coureurs de rivières " comme la limpide Dourbie située en première catégorie dans le Parc National des Cévennes. Pour atteindre ces lieux magiques, quittez les plaines, la garrigue, les berges de l’Arre et de l'Hérault, dirigez vos pas vers les maquis et les vallées profondes. Aux pieds du Mont Aigoual qui impose avec fierté sa haute stature, empruntez au détour de la chaussée, la voie qui mène col de l'Espérou. |
La Dourbie offre une eau d’une exceptionnelle clarté. Après un cours relativement tranquille, cette rivière attachante s’enfonce au fond de gorges impressionnantes, laissant parfois place à un petit chemin… ou à la rivière ! Pour trouver un parcours plus facile d’accès vous descendrez jusqu’au niveau de Saint-Jean-Du-Bruel. A l’amont, les gorges se rétrecissent assez vite, la rivière restant accessible facilment à de petites routes et chemins. En remontant encore, les amateurs de tranquillité et de pêches physiques trouveront encore des parcours éloignés et parfois relativement accidentés. La truite, dominante, partage son milieu avec quelques chevesnes, gardons et autres vairons, à l’approche de Saint-Jean-Du-Bruel. Avec une succession de plats, de courants et de beaux gouffres, toutes les techniques de pêche de la truite sont envisageables, avec une nette préférence pour la pêche au lancer en début de saison, le toc toute l’année, et la mouche dès qu’arrive la fin avril ! |
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La Dourbie et ses affluents regorgent de truites farios combatives entre prairies, genêts et magnifiques bois de hêtres jusqu’au village de Dourbies puis dans un dédale de gorges difficiles d’accès par la suite. |
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Vous trouverez le long de cet itinéraire sinueux de 18 kilomètres des villages et hameaux de caractère, perchés à flanc de falaises ou bâtis sur des promontoires rocheux. Cantobre, Saint-Véran ou Montméjean en sont de très beaux exemples. Il y a encore quelques années, la pression de pêche y était telle, que les truites n'arrivaient plus à maturité, à se régénérer. Alors au fil des années, l'absence de poissons à temporairement provoquée l'absence... de pêcheurs. Un répit vital pour les quelques truites autochtones, qui peu à peu se sont reproduites et avec la bonne volonté inébranlable des responsables de l’AAPPMA locale qui préservent cette si belle souche locale. Dans la descente nonchalante, vous êtes en amont des gorges de la Dourbie, celle qui se saute d'un bond d'enfant au village des Laupies, pour se grossir de petits tributaires sous le « virage aux moutons » et devenir dangereusement belle dans les gorges des Laupiettes et du Prunaret. Il est prudent de ne pas s'aventurer seul dans les gorges. Cette si belle rivière est si limpide qu'elle fait penser au texte de Georges Brassens, "dans le courant d'une onde pure... Une saute de vent soudaine..." |
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| Un texte qui illustre parfaitement la caresse de cette eau fraîche et la douce bise qui gonfle les genêts d’ors. Un paysage propice à la découverte d'une nature colorée et de reliefs variés, que vous découvrirez parfois au hasard des nombreux petits chemins de traverse. De la route, la rivière est toujours omniprésente comme si vous étiez tenté de l'oublier. Elle se dévoile à chaque virage pour disparaître quelques brefs instants pour ensuite mieux nous revenir. Dans le défilé des rapides, quelques ""jeunes d'hommes"" jouent au gré de l'eau, de cascades en chutes, et de gouffres en avens. Insouciants qu'ils sont de cette beauté qui les entoure et qui s'offre gracieusement comme un cadeau ardent à nos sens inassouvis. |
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La Dourbie, petite rivière fantasque, vous mène ensuite au village de Dourbies et de cascades en cascades poursuivra sa course jusqu'à St Jean de Bruel, avant de s'enfermer dans un étroit canyon près du village de Cantobre accroché à la roche. |
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| CARNET DE SUIVI DES CAPTURES Amis pêcheurs de la Dourbie nous comptons sur vous pour remplir un carnet de suivi de captures lors de vos sorties pêche sur cette rivière. Les infos que nous récolterons, seront un complément de données très utile pour notre gestion piscicole. Exemple : la taille des poissons donnera une idée de l’importance et de l’état de la population de truites par classe d’âge notamment. Le carnet de pêche est accessible à l’aide d’un bouton sur la page d’accueil du site: lesaappmabvdourbie.e-monsite.com Vous pouvez le remplir à partir du site internet ou sur votre téléphone portable. Pour cela, nous vous recommandons de mettre notre site sur votre page d’accueil pour un accès plus rapide.Lors de la saisie du formulaire votre Email est obligatoire car il sert pour le retour vers votre boîte email du document rempli. |
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| SITUER SUR LA CARTE | |||||||||
| LES POISSONS RESIDENTS | |||||||||
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| LA DOURBIE VERS TREVES | LA CASCADE D'ORGON | VERS LE COL DE L'ESPEROU |
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Lac de Camprieu Du nom de la rivière qui le traverse, le lac de Camprieu ou lac du bonheur est un lieu à l’abri des fortes chaleurs de la plaine. Situé à plus de 1 000 mètres d’altitude, tout proche du Mont Aigoual, ce petit barrage de 1ère catégorie abrite une jolie population de salmonidés et de vairons. Plusieurs tables de pique-nique permettent de passer un moment au milieu de paysages alpins. Le lac des Pises Ce lac de 14 hectares situé sur le massif de l’Aigoual, en plein cœur du Parc National des Cévennes, est alimenté par la rivière Lingas. Les truites fario sont les reines de ses eaux. La retenue d'eau située sur la commune de Saint-Sauveur Camprieu, en amont du village, le lac de Camprieu est un lieu apprécié des vacanciers et des pêcheurs de truites. Il est alimenté par la rivière du Bonheur qui prend sa source au Mont Aigoual. La rivière du Bonheur va ensuite entrer sous terre à la Perte du Bonheur et ressortir plus loin dans l'Abîme de Bramabiau. Se loger à Camprieu |
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| Le Trévezel Je vous conseille également de visiter le Trévezel, affluent de la Dourbie , sur le parcours no-kill mouche du lieu-dit «Randavel » jusqu’au pont de Comeiras. Affluent de la Dourbie, il prend sa source en amont du village de Camprieu. D’abord granitique puis calcaire, ses eaux pures renferment une grande quantité de truites sauvages, parfois de belles tailles. Moins connu que la Dourbie, il a pourtant tous les atouts pour satisfaire les pêcheurs de truites les plus exigeants, la diversité de son profil et son cadre sauvage combleront les amateurs de pêche sportive. Il est à noter que les gorges du « Pas de l’Ane » , en amont du village de Trêves, sont d’un accès assez difficile. Techniques de pêche préconisées : Truite au toc et aux appâts naturels, le lancer de cuiller et le manié. Pêche à la mouche sèche à partir du mois de mai. |
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| N'ATTENDEZ-PLUS POUR AVOIR UNE TOUCHE ! Vous êtes hôtelier, moniteur guide de pêche, Professionnel du tourisme, revendeur d'articles de pêche Vous possédez un gîte, un terrain de camping... Pour apparaître sur une page dédiée de ce site contactez le webmaster pour définir votre format  |
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LE GOUFFRE DE BRAMABIAU |
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Le Château de Saint-Laurent-le-Minier |
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LA VIONNE Petite rivière de plaine classée en 1ere catégorie, et qui a une morphologie digne des plus beaux ruisseaux normands. On s’y rend à partir de la départementale 143 à proximité de Bagnol sur Cèze. Garez-vous au niveau du pont de la Bégude, et pêchez en remontant. Malgré la quantité d’eau, et l’abondance de caches, la Vionne n’abrite que peu de poissons autochtones. Vous l’aurez compris à l'ouverture ce sont les truites surdensitaires qui feront le bonheur des pêcheurs. Dès l’aube c’est certainement le toc qui sera le plus approprié pour séduire une moucheté encore endormie...  |
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LA VIS AU CIRQUE DE NAVACELLES C’est incontestablement la plus belle rivière du département et même de France ! Sur le parcours de Saint Laurent, vous rencontrerez très certainement beaucoup de pêcheurs au manié et aux leurres, venus tenter une grosse truite fario qu’abrite cette merveilleuse rivière. La pêche y est compliquée, les prises peuvent être rares, mais ne vous y trompez pas, ce n’est pas parce que vous ne prenez rien qu’il n’y en a pas ! Les eaux cristallines de cette résurgence ne laissent pas de place à l’amateurisme. Privilégiez les montages fins pour la discrétion. Rien ne sert de pêcher en plein milieu...  |
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